Une réflexion sur le rapport à la nature et au vivant
Dans un contexte où la durabilité et l’écocitoyenneté s’imposent comme des enjeux majeurs, l’ouvrage invite à repenser le rapport à la nature et au vivant comme environnements d’apprentissage. Il propose de considérer la nature non seulement comme ressource pédagogique, mais aussi comme espace de transformation sociale, lieu de résonance et d’expérimentation d’un « habiter commun » entre humains et non-humains.
Des récits pour transformer les pratiques
Les autrices donnent la parole à des pédagogues, des passionnés de nature et des enfants. Leurs récits révèlent comment des pratiques sensibles et narratives permettent d’aborder la complexité du monde tout en cultivant l’émerveillement, la légèreté et la sérénité dans une société en constante évolution. Ces expériences offrent des occasions poétiques et sensorielles d’imaginer d’autres façons d’habiter la Terre et de renouer avec elle.
Pour qui ?
Cet essai s’adresse aux professionnels de l’éducation, aux formateurs et formatrices, mais aussi à toutes les personnes intéressées par l’écocitoyenneté et le vivant.Sabine ppliger
Les autrices
Anne-Marie Lo Presti est intervenante et chercheuse à la Haute école pédagogique du canton de Vaud. Historienne et anthropologue, elle explore les approches narratives comme outils d’apprentissage et d’émancipation. Formée comme coach, elle aborde les questions de santé humaine et environnementale, liant le soin de soi à celui du monde.
Sabine Oppliger est formatrice et chercheuse à la Haute École Pédagogique du Canton de Vaud. Elle intègre des approches somato-réflexives et émancipatrices favorables à une éducation à la durabilité. En tant que peintre-plasticienne, passionnée de transdisciplinarité, elle explore les collisions poétiques et sensibles.
Référence
Anne-Marie Lo Presti & Sabine Oppliger (2024). À l’école du vivant : s’éduquer par et pour la nature. Arles : Actes Sud.
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